jeudi 27 juin 2013

Les dessins du carnet crade.

Pour nourrir un peu ce blog , je vous ai espécialement recoloré quelques pages justes sorties de mon carnet crade, celui qui va bien avec un bon vieux bic.

Voilà du tout chaud de ce week end , brut de pomme.(comme quoi, si je ne poste pas, ça ne veut pas dire que je ne dessine pas, hein.)

D'ailleurs, le trip vélo est en cours d'achèvement aussi. Tout plein de choses à lire bientôt, donc;)






vendredi 21 juin 2013

Inspired by Dizzy Gillespie

Un soleil printanier, une musique qui sort par la fenêtre, ça le fait bien pour un ou deux dessins...
A springtime sun, music in the air throught the window, well, everything is good for one or two drawings.




dimanche 16 juin 2013

Trip vétété: la partie IV !

Bon allez quoi, ça suffit.

Faut s'y remettre à ces histoires de vélo. J'ai décidé de m'y atteler un peu et de vous livrer quelques pages avec un bonus (eh oui, trois pages de bédé les copains) sur la genèse d'un cycliste: comment Chapi, rock star londonienne est il devenu un adepte de la petite reine? (J'ai dessiné ce truc un peu à part, directement sur ma tablette pour voir comment ça se passait, eh ben: ça m'a fait des yeux rouges comme un lapin mais je me suis bien amusé. J'espère que vous aussi).

Peut être faut il que je réintroduise mon récit, tellement ça tourne à la rallonge :
Il s'agit au départ d'un carnet de bord rempli lors de la traversée de l'Hérault à vtt (la fameuse "GTH"), que je tente de mettre en ordre et de vous présenter avec le plus de réalisme possible, avec le souci du détail et de la vérité qui me caractérisent, tous mes amis vous le diront.

Et on en est déjà au quatrième épisode. Alors attention, je ne vous conseille pas de prendre le truc en route, parce que le scénario est très élaboré et vous risqueriez de ne rien comprendre, un peu comme si vous attaquiez un film d'espionnage sur la guerre froide à la trente huitième minute.

Donc pour les retardataires: Le début est , la suite ici, la suite de la partie 2 ( la partie 3, autrement dit...), ici, et après vous pouvez enfin lire ce post.

Donc: retour dans les terres arides de l'Hérault, où on suait sang et vin dans la rocaille et les cistes cotonneux (je viens de réaliser que ça ne s'écrit pas avec un"y"comme "cystite" ou toutes ces choses vésicales. Je commence à comprendre qu'une des raisons d'être de ce végétal est de me foutre la honte dès que possible. Et il y parvient pas mal.)


Et voilà. Si certains se demandent de quel poète est la dernière phrase, eh ben, elle est de moi.
Je suis très inspiré par les clairs de lune, les chouettes et les insecticides.
Concernant les punaises, vous pouvez vous informer plus amplement en lisant cette page.

(D'ailleurs, en vrai, je n'en ai pas attrapé. C'était pour les besoins du scénario.Vous pouvez donc m'inviter chez vous sans crainte.)

Comme je n'ai pas fini de dessiner la suite ( et fin, à priori),  voici une petite bédé pour patienter, tirée d'une histoire vraie.
Chapi, ne m'en veux pas, il fallait que le monde sache.

-ADDENDUM-








dimanche 9 juin 2013

Première rencontre Urban Sketchers France à Lyon 1-2 juin 2013: Que du bon!

Au moment où je grimpais dans le train, samedi dernier, je me demandais un peu ce que ça allait donner, cette première rencontre des Urban sketchers (USK) France.
Eh ben, je n'ai pas été déçu.
Mais alors: pas du tout. 
Il y avait de l'andouillette et des traboules.
Donc, petite pause dans le récit de mon épopée cyclopédique pour vous raconter tout ça:

When I climbed on the train last Saturday, I wondered a little what was going to give the first USK france meeting.
Well, I have not been disappointed. 
There were sausages and "traboules"(see below).
So , little break in the story of my epic mountain bike trip to tell you all about it:

Dans une traboule: Vincent Desplanches à gauche, Cat Gout à droite.
La ville de Lyon, pour commencer, est plutôt étrange: on n'y circule pas normalement. Ca monte ou ça descend,  c'est une chose, mais on ne suit pas une rue jusqu'au bout pour bifurquer dans la suivante, non, pensez vous: on passe dans des traboules. Ca fait un peu peur le premier coup, mais après on s'habitue.
The city of Lyon is rather strange: You don't involve normally in it. It goes up or goes down, of course, is one thing, but you doe not follow the street usually, you go trought houses from one street to another across alleyways named 
"traboules".



C'était bien cool de (re)trouver la tribu des Urban sketchers ( tiens, j'ai trouvé la définition wikipédia d'un USK au fait).On a passé de beaux moments à causer perspective et crayons.
I had really nice moments with fellow USK friends talking about perspective and pencils. 

Les sketcheux sur la ligne de départ. Bic et aquarelle.
C'est qu'on était pas loin d'une centaine. Ca grattait du carnet à chaque coin de rue.
J'ai griffonné quelques bobines de copains sketcheux dans un "carnet de gueules", autant que possible.( Pas pu dessiner tout le monde)

We were about one hundred! There was someone drawing on every street corner.
I drew some portraits of fellow sketchers in my "carnet de gueules" ( couldn't draw everyone):







Des panoramas à la pelle.
Many wonderful points of view to draw.


Belvédère de la grande côte.
Depuis Fourvière

Profusion de sujets à dessiner.
Comme ici des sketchers alignés comme des quetsches, sketchant comme un combat de catch la place St Jean.
Many things to draw. Like sketchers, here on St Jean's place. (hem. If anyone can traduce the sentence above, please send me an email, I'm very interested. Thanks.)

Une brochette de sketcheux sur le parvis de la Cathédrale Saint-Jean. De gauche à droite:
Silke, Nicolas Doucedame, JM Hincky, Chris (de Belgique), Myriam Ben, sa copine, et les deux autres dans l'ombre, ben je ne sais plus.


On a passé deux jours à monter des escaliers, descendre, remonter, prendre la pluie, puis le soleil, puis une bière, puis encore un peu de pluie, puis une andouillette-frites dans cette ville incroyable.

We spent two days climbing stairs, then going down, and up, and into the rain, then sun, then having a beer and a bit of rain, and a sausage and chips in this amazing city.





















Assis dans les escaliers en descendant de Fourvière, derrière Bertrand Misischi , devant un beau dédale de toits.
Et Voilà. Ainsi se termine ce grand week-end de dessins et d'échanges. Sur une musique orientale qui plane dans l'air, au dessus des toits, alors que mon bic déja nostalgique trace ce dernier dessin dans mon carnet.
Tiens, je vous suggère ça comme générique final:
Here it is. These great moments of drawing and sharing with friends are ending, on this oriental music flying above the roofs of Lyon. (suggestion below :)